Bitch volley

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il y a 4 ans

Je venais de rencontrer Laurent depuis quelques jours, sur la plage de la petite station balnéaire dans laquelle je passe presque tous mes étés. J’y ai de beaux souvenirs d’aventures sexuelles passionnées, que je sois célibataire ou en couple. Le soleil, le temps libre et les corps bronzés font beaucoup d’effet à ma libido, et je me retourne sur n’importe quelle paire de fesses d’homme bien moulée dans un short de bain. Bref, je suis très ouverte au mâle en rut pendant cette saison-là. Cette année, c’était cet homme en particulier qui m’avait tapé dans l’œil. Laurent est un mec bien foutu avec un joli bronzage, une barbe de quelques jours et des cheveux très courts vaguement poivre et sel. Très mignon et à mon goût. Je l’ai vite approché pour discuter et faire connaissance.

J’ai vu que je lui plaisais aussi et nous nous sommes mis à nous retrouver quotidiennement sur la plage, non sans nous envoyer des petits sourires et des œillades qui ne trompaient pas. Je me doutais qu’il y aurait un rapprochement entre nous mais j’aimais bien laisser traîner les choses, laisser languir et créer le désir. Je me caressais le soir quand il venait visiter mes fantasmes et j’étais à peu près convaincue qu’il en faisait autant en me convoquant dans son esprit quand il se branlait dans sa salle de bain ou dans son lit. Il faut dire que j’ai une silhouette plutôt alléchante. Blonde, avec de belles fesses et de belles cuisses que soulignent mes maillots de bain seyants, et surtout une poitrine très généreuse qui est d’un meilleur effet dans mes brassières de plage et qui ne laisse pas grand monde indifférent.

Cette journée-là de plage, j’en avais justement mis une et mes seins étaient bien serrés dans le tissu tendu sur leurs rondeurs, pendant qu’une petite culotte noire me rentrait à demi dans les fesses. Je commençais à avoir vraiment faim de Laurent, à f o r c e de se tourner autour comme des félins, j’avais envie de passer aux choses sérieuses. Je lui ai proposé de faire un volley sur la plage, où avait été tendu un filet pour jouer à ce jeu de ballon dont je savais qu’il mettrait en avant mes courbes et me donnerait un argument de choix pour me baisser et faire remuer mon cul et mes seins sous le regard alléché de mon probable futur amant. « Tu viens échanger quelques balles, beau gosse ? », ai-je dit. Il a accepté tout de suite.

On a commencé à se lancer le ballon. Je suis plutôt douée, et je lui mettais des smashs dans la vue pour l’impressionner. Il était attendrissant quand son regard se perdait lorsqu’il recevait une balle trop forte et qu’elle lui échappait. Je le chambrais gentiment. Je prenais mon temps pour ramasser les ballons que j’avais pu intercepter. Je la jouais subtilement, dos à lui, le cul cambré en arrière, jetant des petits regards vers lui, un peu comme dans une levrette imaginaire, histoire que Laurent vise bien mes fesses rebondies et se doute que je le faisais un peu exprès.

Je devinais le trouble de mon partenaire de jeu qui n’arrivait pas à détacher ses yeux de mon corps, à ma plus grande satisfaction. Quand je le décide, j’aime être un objet sexuel offert au plaisir des sens des hommes. Sentir ce regard sur moi me faisait mouiller d’avance, la meilleure des excitations. Des images traversaient mes pensées avec des fulgurances, dans lesquelles je me visualisais en train de me faire prendre par Laurent. Il me prenait dans ce cul que j’aimais tant qu’il regarde, cet endroit par lequel j’aime me faire prendre et que j’étais en train d’agiter pour épater mon spectateur. Dans mes fantasmes, je l’imaginais m’enfilant avec sa queue que j’imaginais déjà bien dure et tendue vers moi. L’image mentale de son chibre ne me quittait pas une seconde.

J’en étais donc là de mon petit manège quand je me suis relevée et que j’ai vu Laurent qui était tout proche de moi. Il avait profité que je sois de dos pour se glisser jusqu’à moi. Son torse légèrement luisant de sueur s’étalait devant mes yeux comme un gros gâteau très tentant. Je voyais une bosse déformer son maillot de bain. « Qu’est-ce que tu fais ? » ai-je demandé en minaudant. Laurent m’a prise par les hanches pour se rapprocher de moi. « J’ai bien vu ton petit manège, madame la championne de volley », a-t-il répondu. Le contact de sa peau contre la mienne m’a fait encore plus mouiller dans ma petite culotte noire. Laurent a tendu ses lèvres vers mon cou.

Il a commencé à l’embrasser tout en me caressant les hanches délicatement avec ses grandes mains musclées. Je me suis rapprochée pour me retrouver tout contre lui et j’ai senti son braquemart tout dur et tout dressé contre mon ventre plat et mon bas-ventre. Nous avons échangé un long baiser et j’ai senti sa langue envahir ma bouche, aller à la rencontre de ma propre langue, mêler sa salive à la mienne, ses dents mordant mes lèvres avec gourmandise. Ça y était, je m’en remettais enfin à lui et aux plaisirs qui ne manqueraient pas de se produire dans ses bras.

Le jour était en train de tomber et nous avons constaté qu’autour de nous, les familles avaient repliés les parasols. Nous étions seuls, comme par magie, sur ce bout de sable près du camping dans lequel nous avions nos mobile-homes, mais où il aurait été beaucoup trop ennuyeux de retourner tout de suite. Au lieu de ça, j’ai commencé à frotter sa pine à travers son maillot et à en éprouver les contours gonflés de désir. Je me suis exclamée : « Dis-donc, on dirait que le volley te fait un sacré effet ! » « C’est plutôt ton cul qui me fait un effet de dingue », a-t-il rétorqué. Ah, j’avais hâte qu’il s’occupe de mon cul ! Mais en attendant, je voulais continuer à faire monter la tension. Je me suis tournée pour frotter mon petit boule contre son érection. J’aime sentir la longueur de son bâton entre ma raie et deviner les promesses de plaisirs à venir en tâtant ainsi le terrain.

J’ai sorti sa queue de son maillot. Elle était charnue, pleine et je me suis tout de suite dit qu’elle trouverait une place de choix dans ma petite bouche de cochonne. Je me suis exécutée tout de suite et je l’ai mise en bouche pour la soupeser, la goûter, éprouver ses formes, son gland, la peau lisse, les petites veines et les petits reliefs. J’avais tellement imaginé ce moment ! Elle ne me décevait pas, elle était aussi jolie et sexy que dans mon imagination. J’aime beaucoup observer et ressentir toutes les petites différences entre les bites, puis les noter dans ma tête pendant que je les suce. J’ai une grosse mémoire des bites que je croise dont je relève la couleur, la consistance et le goût. Un vrai travail de collectionneuse ! Et j’en ai sucé un certain nombre maintenant !

J’ai acquis une certaine expérience que mon joueur de volley paraissait apprécier puisqu’il s’est tout de suite mis à soupirer alors que je me mettais à le pomper de façon plus franche. Le gourdin de chair disparaissait dans ma bouche, frottant le palais, se branlant entre mes lèvres, prenant un bain de salive dans ce lieu chaud, dangereux et sûr à la fois. Je passais ma main dessus en même temps que je m’appliquais à bien diriger ma pipe, mes doigts accompagnant mes allers-retours avides sur cette queue dont je rêvais déjà des endroits qu’elle viendrait visiter ensuite.

Laurent m’a retournée et a baissé ma petite culotte. « Tu sais que j’ai très envie de le visiter, ce joli petit cul ? Tu l’as tellement fait bouger sous mon nez que je ne pense qu’à ça depuis des jours », a-t-il confié. Je lui ai répondu que j’attendais aussi ce moment depuis plusieurs jours. Ni une ni deux, mon amant s’est mis à me lécher copieusement le petit trou qu’il avait découvert sous mon maillot, faisant frémir sa langue sur ma rosette. Il alternait entre des petits coups de langue pour titiller ma curiosité et mon désir et de franches coulées de salive pour préparer ce trou serré et intime, histoire de bien le faire glisser et de bien le lubrifier. Je sentais la bave couler dans ma raie et jusqu’à goutter sur ma chatte qui était elle aussi dégagée de ma culotte et sur laquelle il promenait un peu les doigts, histoire de m’électriser davantage. Je me retrouvais à quatre pattes sur le sable, les trous offerts à la brise du soir et à la langue vigoureuse de Laurent. J’étais à sa merci, concentrée sur cette langue qui s’agitait à cet endroit de moi dont j’aime tellement que l’on s’occupe.

Une fois qu’il a eu bien trempé mon cul, il a mis quelques doigts pour le stimuler encore plus. Je les recevais avec enthousiasme, ses phalanges écartant de plus en plus le conduit grâce aux traînées de salive et stimulant la paroi à l’intérieur. Je sentais mon cul se desserrer et s’offrir de plus en plus. Pendant ce temps, je trempais mes propres doigts dans ma fente, car j’avais l’impression que jouer avec les deux trous en même temps les ouvraient encore plus, les faisaient encore plus fondre de plaisir et les préparaient encore davantage à se faire pilonner. Puis Laurent a commencé à tremper son membre viril, dont j’avais tellement rêvé ces dernières nuits, dans mon intimité la plus étroite. Il a commencé par y frotter le gland, jouant avec l’entrée de ce chemin tortueux en agitant sa bite tout contre lui, trempant le gland tout doucement et ressortant, jouant petit à petit à soumettre mon cul en le faisant accepter pas à pas la longueur de son pénis. Il trempait, sortait, retrempait, s’enfonçait, ressortait. J’accueillais sa pénétration avec soumission et gratitude. Je retrouvais ce plaisir que j’aime tant, celui de me faire emplir par cet endroit-là, là où tout est étroit, périlleux, intense, profond.

Elle me transperçait et je sentais ses contours d’une nouvelle manière. Comme ma bouche l’avait avalée, mon cul gourmand était en train de l’engloutir pour la dévorer et l’aspirer en lui. Mon anus se dilatait tout autour de lui et se délectait de cette pression forte qui l’enculait, le frottait, le martyrisait et le baisait. Laurent a accéléré ses va-et-vient et je l’ai senti sauter mon cul offert qui n’attendait que cette correction, à la fois cuisante et tendre. La sodomie est une merveilleuse pratique pour qui sait s’y laisser aller, et à condition d’avoir un bon partenaire de jeu ! Laurent était doué en ce qu’il savait exactement quel rythme adopter avec moi, devinant dans ma façon de me cambrer les moments où j’avais envie qu’il me défonce et les moments où je voulais qu’il ralentisse.

Laurent m’a soulevée pour que nous nous installions sur un siège pliant. Il m’a fait écarter les jambes pour que je me retrouve sur lui à le chevaucher. Laurent était assis, la bite bien dressée qui s’enfonçait toujours dans mon cul. J’avais les deux pattes de part et d’autre de lui et cette nouvelle position me faisait ressentir de nouvelles sensations dans le creux de mes fesses. En appuyant sur mes genoux, je pouvais les faire jouer, monter et descendre pour encore mieux l’accueillir et le saisir dans mon trou. Je me sentais à la fois possédée, soumise, et en même temps dominante, possédante, ayant attrapé cette bite bien fourrée en moi et la gardant pour moi seule dans mon intimité la plus profonde. Entre temps, j’avais dégagé mes énormes seins de ma brassière.

Quand ils sont ainsi présentés aux quatre vents, ils sont bien gonflés et serrés entre les bretelles, et j’ai tout l’air d’une actrice porno dont la poitrine remonte vers le visage et pointe vers son partenaire. Laurent avait l’air d’apprécier mes seins, car il les mangeait, les léchait et les dégustait pendant qu’il continuait à me baiser le cul. Le plaisir se répandait dans mes tétons, des frissons me parcouraient. La pression de sa bite dans mes fesses éveillait par la même occasion mon minou, en tapant profondément sans pour autant le mobiliser directement, et je mouillais comme une énorme chaudasse qui jouit de se faire sodomiser tout en imaginant d’autres bites qui pourraient la prendre par l’autre trou.

J’ai posé les deux mains sur mes deux globes de chair pour mieux écarter mes fesses et encore mieux recevoir le sexe de mon partenaire à l’intérieur de moi. Je sentais ce tiraillement délicieux qui me parcourait l’anus et me faisait frémir tout le long de la colonne vertébrale. Je continuais mes allers-retours sur sa queue en soutenant mes fesses comme deux poids de chair et de peau douce dans chacune de mes paumes. J’allais et je venais en cambrant et en m’appuyant sur les jambes. Je me suis dégagée pour me retourner et me réinstaller sur lui, mais en lui tournant le dos cette fois. Laurent a continué à m’enculer dans cette nouvelle position qui me permettait de me toucher en même temps.

Mon amant léchouillait l’un de mes tétons et le tétait d’une façon presque e n f a n t ine, comme si je l’allaitais. Ça m’a beaucoup excitée de le voir à ce point suspendu à moi comme un chaton téterait une chatte. Pendant ce temps, je me suis mise à frotter mon clito pour ressentir à la fois la caresse de cette branlette et les picotements de plaisir qu’elle me provoquait, en même temps que le plaisir presque douloureux de la sodomie dans mon cul. Ces deux bonheurs communiquaient entre eux et j’avais l’impression que sa bite se répandait dans tout mon bas-ventre.

Les vagues de plaisir envahissaient tout mon corps, j’aurais pu jouir uniquement du frottement de sa queue à l’intérieur de ma cavité anale. Je n’avais toujours pas de queue dans ma chatte, mais les délices qui l’entouraient la stimulaient quand même, entre la bite qui s’enfonçait non loin d’elle et la main qui la frottait et s’amusait avec mes petites lèvres. Je me suis un peu redressée pour encore mieux prendre la queue de mon amant et me faire enculer encore plus profondément. Personne ne m’avait enculée comme ça avant lui ! Il y allait avec un mélange de douceur et de fermeté qui me rendait folle. Parfois, il s’enfonçait doucement pour que je ressente bien chaque parcelle de sa queue plonger en moi. Et d’autres fois, il me baisait comme il aurait baisé l’autre trou, en sortant et rentrant rapidement, ne laissant plus aucun répit à mon trou du cul de plus en plus martyrisé.

J’ai accéléré mes caresses sur mon clito tout en me pinçant les tétons de temps à autre. Laurent m’a couchée sur le siège pliant pour me dominer et me prendre en étant au-dessus de moi. Ainsi, il pouvait m’enfiler encore mieux et regarder mon corps, ma chatte toute rose que j’étais en train de branler, mes seins tout gonflés qui dansaient dans mon plaisir, et mon visage déformé par l’amour. Je gémissais. « Vas-y, enfonce-moi, saute-moi, ne t’arrête pas ! ». Laurent était comme hypnotisé par son plaisir et la vision qu’il avait de moi dans cette position. Il redoublait ses coups de bite, toujours dans ce même trou qui commençait à être sérieusement malmené. J’ai moi aussi redoublé ma masturbation simultanée et j’ai senti monter l’orgasme, partant de l’anus, passant par mon clitoris et irradiant dans tout mon corps, qui s’abandonnait complètement aux assauts de Laurent. La jouissance me faisant hurler de plaisir, pendant que mes seins rebondissaient sous les coups de bite. En me voyant jouir, Laurent s’est mis lui aussi à venir. Je l’ai vu dans son visage et dans ses yeux. Même si on ne se connaissait que depuis quelques jours, j’avais l’impression de connaître déjà son corps et de pouvoir anticiper ses réactions.

Il a sorti sa bite de mon fourreau et a inondé ma rosette de son sperme épais et blanc. J’avais le trou de balle tout coulant de son foutre crémeux. Non content d’avoir souillé mes fesses, Laurent a remis sa bite dans ma bouche entrouverte pour que je lèche sur elle les dernières gouttes de crème. J’avais été sa chose, mon cul lui avait fait un bel honneur et lui aussi avait fait honneur en le visitant de cette manière ! Je léchais avidement cette belle queue qui m’avait fait tant de bien en la gratifiant de généreux coups de langue sur toute sa longueur. Nous sommes rentrés pour faire une pause. Nous n’avons pas tardé à remettre le couvert et avons continué à baiser pendant les jours qui ont suivi. Nous ne savons pas si quelqu’un nous a surpris sur la plage, mais nous avons bien remarqué quelques regards qui s’attardaient sur nous au snack du camping. Peut-être aurons-nous donné des idées à d’autres…

Sam

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